L’USM appelle à une journée « justice morte » ce lundi 18 décembre 2006.
Après avoir manifesté en nombre le 1er décembre, l’USM appelle à renvoyer toutes les affaires devant être jugées aujourd’hui.
Elle soutient les avocats qui manifestent pour des moyens accrus pour l’aide juridictionnelle et une justice de qualité.
Face à la misère budgétaire, aux attaques incessantes qu’elle subit quotidienne-ment et à la volonté obsessionnelle de mettre en cause les magistrats pour les décisions qu’ils prennent, c’est la question de la survie d’une justice indépendante qui est aujourd’hui posée en France.
La critique systématique de toute décision qui n’est pas dans l’air du temps et la stigmatisation des magistrats qui l’ont rendu devient un véritable jeu de massacre quasi-quotidien.
L’USM rappelle au ministre de la justice que la loi sanctionne l’outrage à la justice et le fait de chercher à discréditer une décision judiciaire.
L’USM appelle solennellement les hommes politiques et les médias à plus de retenue et de respect vis-à-vis des décisions de justice.
La justice exerce une mission essentielle au sein de l’Etat. Elle est un des piliers d’une démocratie et à ce titre elle doit être préservée des ingérences politiciennes et des pressions médiatiques.
L’USM en appelle une fois encore au président de la République, dont c’est le rôle constitutionnel , pour qu’il garantisse l’Etat de droit qui passe par le respect dû la justice.
Après avoir manifesté en nombre le 1er décembre, l’USM appelle à renvoyer toutes les affaires devant être jugées aujourd’hui.
Elle soutient les avocats qui manifestent pour des moyens accrus pour l’aide juridictionnelle et une justice de qualité.
Face à la misère budgétaire, aux attaques incessantes qu’elle subit quotidienne-ment et à la volonté obsessionnelle de mettre en cause les magistrats pour les décisions qu’ils prennent, c’est la question de la survie d’une justice indépendante qui est aujourd’hui posée en France.
La critique systématique de toute décision qui n’est pas dans l’air du temps et la stigmatisation des magistrats qui l’ont rendu devient un véritable jeu de massacre quasi-quotidien.
L’USM rappelle au ministre de la justice que la loi sanctionne l’outrage à la justice et le fait de chercher à discréditer une décision judiciaire.
L’USM appelle solennellement les hommes politiques et les médias à plus de retenue et de respect vis-à-vis des décisions de justice.
La justice exerce une mission essentielle au sein de l’Etat. Elle est un des piliers d’une démocratie et à ce titre elle doit être préservée des ingérences politiciennes et des pressions médiatiques.
L’USM en appelle une fois encore au président de la République, dont c’est le rôle constitutionnel , pour qu’il garantisse l’Etat de droit qui passe par le respect dû la justice.
In Union Syndicale des Magistrats.
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